Après « Clonage » en 2005, Régine Gaud présente ici le deuxième volet de sa trilogie sur l’humain. Elle invite à cette occasion un jeune cinéaste, Leyokki, dont elle apprécie les recherches expérimentales.
C’est sur le thème du vivant – humain, pour Gaud, organique pour Leyokki – que se rencontrent les deux artistes. Deux artistes, deux générations, deux modes d’expression : par leur dialogue, les deux artistes souhaitent explorer les rapports du réel et de l’imaginaire, à l’œuvre dans leur travail d’interprétation.
A travers ce travail en miroir, les deux artistes nous invitent à nous interroger sur le pouvoir de transposition de l’art : artificialité, transformation, ou transcendance de la réalité.
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